Neymar lâché par le PSG, c’est confirmé
Absent jusqu’à la fin de la saison, Neymar sera encore mis sur le marché par le PSG l’été prochain. Entre le Brésilien et le club, le malaise est profond.
C’est l’éternel recommencement. Après une nouvelle élimination douloureuse en Ligue des champions, le Paris Saint-Germain prépare encore une révolution pour l’été prochain. L’effectif devrait beaucoup bouger, ou en tout cas c’est le souhait des dirigeants du club de la capitale.
Parmi les joueurs qui devraient être poussés vers la sortie, il y a certainement Neymar. Le Brésilien est de nouveau blessé, et ne rejouera plus cette saison. Cette opération à la cheville, synonyme de nouveau séjour prolongé à l’infirmerie, vient faire oublier le très bon début de saison de l’ancien Barcelonais. Et cela devrait inciter le PSG à chercher à ce débarrasser d’un joueur au salaire XXL.
« On a voulu le dégager l’été dernier et on va encore essayer de dégager, confirme Romain Molina, dans sa dernière vidéo sur Youtube. Aujourd’hui, le club est prêt à payer Neymar pour se barrer. »
« La direction a validé le fait que Neymar se fasse insulter »
Entre le PSG et Neymar, le mal est profond. L’histoire entre le Brésilien et le club a été fait de hauts et de bas, et certaines cicatrices sont profondes. Molina se remémore ainsi d’un épisode qui a laissé des traces. « On rappellera toujours que les premières banderoles contre Neymar il y a quelques années, la direction les laisse passer. Quand il y a eu une banderole contre Nasser Al-Khelaifi, on ne l’a pas laissé passer. Donc la direction a validé le fait que Neymar se fasse insulter », résume le journaliste, en évoquant le mois d’août 2019, quand Neymar a été pris en grippe par le Parc des Princes alors qu’il souhaitait retourner au FC Barcelone.
En attendant, cette façon de faire n’est pas bonne pour l’image du PSG. « Vous croyez sincèrement que les joueurs ne sont pas au courant et n’ont pas envie de déblayer le club quand on voit comment ils se comportent avec tout le monde ? », s’étrangle Romain Molina.