Actes racistes contre Vinicius : comment les policiers ont remonté la trace d’une poupée gonflable
Ce mardi, la presse espagnole a dévoilé les coulisses de cette enquête particulière intitulée « opération Sandra ».
Le 23 mai, la police espagnole a arrêté quatre personnes accusées d’avoir accroché un mannequin de couleur à l’effigie du footballeur madrilène Vinicius, avec la bannière « Madrid déteste le Real », à un pont près de la Ciudad Deportiva du Real Madrid le 26 janvier dernier. Les quatre suspects ont été ensuite libérés, accusés entre autres « d’incitation à la haine raciale ». Ils ont par ailleurs reçu une ordonnance restrictive qui les empêche de s’approcher du joueur brésilien du Real Madrid mais aussi d’accéder au stade Santiago Bernabeu ou à tout autre terrain de la Liga.
Ce mardi, la presse espagnole a dévoilé les dessous de cette enquête particulière nommée « opération Sandra ». C’est dans le cadre d’une émission de radio, intitulée « Julia en la Onda » sur la chaîne Onda Cero que ces révélations ont été faites. Lors de cette émission, deux journalistes spécialisés ont retracé le processus d’enquête sortant du commun.