Crack à Paris : que sont devenues les «ombres» de Forceval après l’évacuation du campement ?
Début octobre, le square parisien du XIXe, immense «scène de consommation» à ciel ouvert, était évacué. Nous avons retrouvé certains des toxicomanes qui le fréquentaient, hébergés dans un hôtel de grande banlieue.C’est un petit hôtel de grande banlieue dont la vocation touristique s’est perdue depuis longtemps. Dans le hall, des enfants avec cartables croisent un papa portant une boîte de lait pour nourrisson… Familles sans toit, logées au titre de l’hébergement d’urgence. Et puis surgissent Alexandre et Idrissa, la démarche un brin chaloupée, les bras encombrés de victuailles achetées au supermarché.
Leparisien