Après l’évacuation de Forceval, le crack de retour sur les trottoirs du nord-est de Paris
Depuis le démantèlement du campement de Forceval (XIXe) le 5 octobre, les consommateurs de crack ont réinvesti leurs anciens spots. Un fléau sanitaire et social, en forme de casse-tête.Il n’a pas fallu plus de trois jours après l’évacuation du campement de Forceval (XIXe), le 5 octobre, pour que des centaines de toxicomanes accros au crack réinvestissent leurs anciens spots du nord-est de Paris. Immédiatement, les comptes Twitter des habitants des XVIIIe et XIXe arrondissements se sont remis en branle, documentant, heure après heure, vidéos et photos à l’appui, « le retour des crackeux ». Désormais disséminés mais toujours là.
Leparisien