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La demande des consciences humaines : l’expulsion du régime sioniste de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies à la veille de la Journée internationale de la femme

La Commission de la condition de la femme aux Nations Unies (UNCSW) est une commission fonctionnelle du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), créée en 1946 dans le but d’assurer l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Cette commission est la principale institution mondiale de défense des droits des femmes et d’élimination des discriminations, qui fonctionne en tant que filiale du Conseil économique et social des Nations Unies. Cette commission a-t-elle rempli son devoir de défense des droits des femmes face aux crimes du régime israélien contre les femmes ?

Au cours des quatre derniers mois, le régime criminel sioniste a commis tous les types de crimes imaginables dans le monde actuel. Il a franchi toutes les lignes rouges habituelles et internationales. Même L’arrêt de la Cour internationale de Justice, qui a confirmé ces crimes et qui a force obligatoire dans le monde entier, n’a pas été appliqué. Selon les statistiques officielles des organisations internationales, plus de 31 000 personnes ont été tuées depuis le 7 octobre, et plus de 70 % d’entre elles sont des femmes et des enfants palestiniens innocents. Plus de 60 000 personnes ont été blessées et un million de personnes ont disparu ou ont été déplacées. 136 journalistes et 115 soldats de l’ONU ont été tués. Tous les centres religieux, y compris les mosquées et les églises, les infrastructures, les écoles, les hôpitaux et les établissements publics, ont été complètement détruits. Non seulement ils ont utilisé les bombes à fragmentation et le phosphore, qui sont interdits par les lois internationales, mais ce régime a également menacé d’utiliser la bombe atomique. La grande question est la suivante : les revendicateurs occidentaux des droits de l’homme ne sont-ils pas conscients de ces crimes ? Ne voyez-vous pas ces doubles standards occidentaux ? Leur conscience humaine fonctionne-t-elle à ce point ? La guerre à Gaza a révélé les fausses revendications cachées et ouvertes des droits de l’homme.

Le 8 mars est la Journée internationale de la femme et l’anniversaire du respect des femmes. Bien que ce soit l’anniversaire de la défense et du soutien des droits des femmes et des mères, mais il est regrettable de dire qu’à la veille de la Journée internationale de la femme en 2024, nous assistons au meurtre brutal de plus de 9 000 femmes palestiniennes innocentes par le régime criminel sioniste depuis le 7 octobre. Cela signifie que des dizaines de milliers d’enfants ont perdu leur mère.

La Commission de la condition de la femme aux Nations Unies, créée dans le but d’assurer l’égalité des sexes et d’aider les femmes à l’autonomisation et promouvoir le développement et la croissance durables, n’observe-t-elle pas aujourd’hui le massacre et le génocide des femmes et des enfants palestiniens à Gaza? Ce régime sioniste, en commettant tant de crimes contre l’humanité, de génocide ouvert, de migration forcée de femmes et d’enfants, de famine systématique de femmes et d’enfants innocents, causant de graves souffrances mentales et émotionnelles aux mères et aux femmes en raison de la mort progressive de leurs enfants, ne mérite t-il pas d’être expulsé de cette commission ?

Quels crime reste-t-il à attendre que le régime israélien commette pour que  les institutions internationales décident de le punir ? La Cour internationale de Justice n’a-t-elle pas confirmé le génocide et les crimes de ce régime ? Qu’est-il arrivé à la communauté internationale dans cette situation misérable ? L’inaction de la communauté internationale semble renforcer le sentiment d’impunité du Gouvernement du régime israélien. Aujourd’hui, l’expulsion du régime criminel sioniste de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies, est l’exigence minimale de la société humaine et de la conscience humaine.