ActualitéInternational

Le petit épicier nîmois était un trafiquant international de protoxyde d’azote

Un commerçant est soupçonné d’être le chef d’orchestre sur le terrain d’une nébuleuse liée au grand banditisme. Lui et trois autres complices sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Nîmes, pour dissimulation de travail en bande organisée.

Près de 500 000 bonbonnes et entre 3 millions et 6 millions d’euros : c’est la valeur estimée des cartouches de protoxyde d’azote achetées en trois ans aux Pays-Bas et revendues dans plusieurs départements du sud de la France, mais aussi dans la région lyonnaise et en Savoie. Une filière dont le centre névralgique se situe à Nîmes (Gard).