Esclavage moderne : le calvaire de trois Philippines exploitées par une famille du Qatar à Paris
Près de quatre ans après sa fuite, Cristina (les prénoms de toutes les victimes ont été modifiés) se réveille encore parfois la nuit, « toute tremblante », en « plein cauchemar ». Dans ses flash-back, cette employée de maison philippine, aujourd’hui âgée de 38 ans, revoit ses anciens patrons lui « hurler dessus ». « Ils m’insultent. Me répètent que je suis un animal », se remémore-t-elle.
Leparisien