ACCUSE D’AVOIR ENCEINTE UNE FILLE:Malick Gakou dément et menace
El hadji Malick Gakou dément l’information selon laquelle, il a enceinté une jeune fille avant de proposer à la victime d’avorter. Le leader du Grand parti menace de porter plainte contre les auteurs de « ces articles diffamatoires».
Le président du Grand parti crie à une cabale politique pour ternir son image. El Hadji Malick Gakou fait l’objet d’accusations sur sa vie privée depuis quelques temps. En effet, le président du Grand parti est accusé d’avoir enceinté une jeune fille avant de lui proposer d’avorter. D’ailleurs, dit-on, qu’il a été interpellé pendant le week-end par la sûreté urbaine. Le président du Grand parti dément ces informations parues dans la presse et menace de poursuivre devant la justice les auteurs. Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, écrit Malick Gakou, «une information relayée par une certaine presse fait état de l’interpellation et de la garde-à-vue durant le week-end écoulé du président du Grand Parti, Malick Gakou». A l’en croire, l’information est erronée et sans fondement. Car, selon la même source, le président Malick Gakou était durant tout le week-end dans la ville sainte de Touba pour prendre part aux prières pour le repos de l’âme du défunt Khalife général des mourides, Serigne Sidy Mokhtar Mbacké. «Le président Malick Gakou n’a nullement été l’objet d’aucune plainte», précise-t-on dans le communiqué. Selon la cellule de communication du Grand parti, ce n’est pas la première fois qu’on calomnie leur leader. «Il y a juste deux semaines, il lui a été attribué une troisième femme par la presse et des tentatives de cette nature ne vont certainement pas manquer pour salir son image face aux perspectives politiques du Sénégal», indiquent les partisans du candidat déjà déclaré à la présidentielle. Pour mettre fin à ces accusations qui commencent à être fréquentes, El hadji Malick Gakou menace de sévir. «Au demeurant, il se réserve le droit de poursuivre devant les juridictions compétentes tout auteur de diffamation contre sa personne», prévient la cellule de communication du Grand parti.