« Supposé convoi de jeunes vers le Fouta » : Quand des encagoulés se trompent de combat et de cible! (Par Martial Diatta, Ingénieur des travaux agricoles)
On le dit souvent et la réalité ne cesse de le démontrer. Pour se faire une réputation indue, il suffit tout simplement que d’illustres inconnus s’attaquent à plus fort qu’eux.
La preuve par les accusations fantaisistes faites à Mamadou Racine Sy d’avoir fait transporter des jeunes de Dakar vers le Fouta dans le dessein de gonfler sa base affective.
Si le ridicule tuait, ses accusateurs auraient disparu comme un pot de chagrin. Comment, quelqu’un comme, Mamadou Racine Sy mondialement reconnu comme un self made man, un opérateur économique qui fait la fierté de tout un continent peut-il descendre si bas en faisant convoyer des jeunes de Dakar vers le Fouta. Si tel était son objectif, il l’aurait admirablement réussi de par son intelligence et son expérience politique. Non ses accusateurs ont tout faux. Faute de pouvoir combattre Racine Sy et de le défaire sur le terrain de la politique, au sens noble du terme, par des actes et actions allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des populations par le biais de la structure ASLAR, ils essaient de le vouer aux gémonies de manière éhontée en usant et en abusant d’armes non conventionnelles. Méchanceté et hypocrisie quand tu nous tiens ! On a beau éprouver de la haine envers le lièvre mais il faut avoir l’honnêteté lui reconnaitre sa rapidité et la longueur de ses oreilles.
S’il y’a au Sénégal une personnalité politique qui n’a plus rien à prouver du point de vue de la générosité dans l’effort d’altruisme et d’assistance envers ces concitoyens, c’est bien le patriote, l’œuvre sociale ambulante qu’est Mamadou Racine Sy. Les contempteurs de M.R. Sy ont manifestement raté le coche.
L’on n’a pas toujours besoin de battre du tam-tam pour mener des actions de bienfaisance comme M. R. Sy sait si bien le faire dans l’efficacité et la discrétion et le désintéressement. Dieu pour lequel il se démène pour l’amélioration des conditions d’existence des populations sénégalaises sous la direction éclairée de Monsieur le Président de la République reconnaitra les siens. Les valeurs humaines qu’il incarne lui interdisent de facto de répondre au coup de l’âne et de verser dans un débat de caniveau puant à mille lieux. Homme de valeur et de principe, fierté nationale, citoyen émérite, Racine Sy est assez lucide, intelligent, modeste et grand pour avancer des arguments de bonne foi face à des comploteurs de mauvaise foi. Il n’est aucunement éclaboussé par les affabulations de petits esprits dont un penseur disait, à juste raison, qu’ils ne parlent que des événements au moment ou celui qu’ils tentent de dénigrer est un grand esprit qui ne parle que d’idées salutaires à même de contribuer au développement économique et social de sa nation. Ils ne peuvent que se tromper de combat et de cible.
Ayant pris connaissance du contenu du procès machiavélique intenté contre le serein et discret Racine Sy dont j’ai eu écho des actions sociales envers ses compatriotes, je me suis posé la question de savoir pourquoi tant d’acharnement et d’animosité contre cette âme débordante de pureté et de générosité dont il est l’incarnation la plus parfaite. En cherchant la réponse à mon propre questionnement, je l’ai trouvée dans les propos d’un penseur qui soutient que certains africains ont un problème réel avec la réussite. Quand les honneurs s’accumulent, les animosités s’intensifient.
M. Sy aura beau marcher dans la mer pour ménager ses pourfendeurs éternels, ils diront qu’il soulève de la poussière. Tout compte fait, son ascension qui donne le tournis aux aigris ne fait que commencer. Elle va susciter encore de la haine et de la rancœur mais elle est irréversible.
Hier des accusations de malversations foncières à St-Louis, aujourd’hui celles d’un prétendu transport de jeunes de Dakar vers le Fouta dans le cadre de la tournée du Président Sall. Demain, que ceux qui sont épris de M. R. Sy ne soient pas surpris d’entendre d’autres accusations aussi burlesques que dégueulasses.
Senego