Me Malick Sall de l’APR à Pastef: Il est parti seul selon Kawral Matam
Nous venons d’apprendre avec stupéfaction le départ de Me Malick Sall et ses amis de l’APR ( Alliance pour la République), rejoignant le Pastef. Nous tenons à préciser que seul Me Sall qui a été créé de toutes pièces par le PR Macky Sall a quitté le navire. Tous les leaders charismatiques dignes de ce nom sont toujours avec le Président Macky Sall.
En effet, L’honorable député Khalilou Wagué maire de la commune de Bokidiawé, Sidy kawory Dia ancien maire de Thilogne, Baba Diallo dernièrement Directeur Général de l’ASER, Abdoulaye Konté cousin du Président Macky Sall, Moustapha Dème de Ndouloumadji, Guelongal Barro responsable politique des Agnams, l’honorable député Astou Sow, les jeunes Sokomo et Mamadou Thiam de la commune de Ogo; toutes ces personnalités politiques , j’en passe, ayant senti le coup fourré de Me Sall, se sont vite retrouvés derrière le mouvement Kawral Matam sous la coordination de Souleymane Barka Ba responsable politique de la commune Matam.
C’est pour dire, qu’en rien le départ de Me Sall n’entache l’engagement des populations du département de Matam à rester fidèle au Président Macky Sall. Aujourd’hui plus que jamais et sous peu tout le monde sera édifié, ces responsables dont il a cité malhonnêtement dans son texte pour se vendre cher au niveau du Pastef, sont plus que déterminés à en découdre avec ce Pastef qui a l’apanage du mensonge et de la violence. Le mouvement Kawral Matam rassure les militants que l’information selon laquelle beaucoup de responsables sont partis avec Me Sall ne relève que de l’intoxication.
Le ridicule ne tuant point, Me Sall rallie aujourd’hui un Sonko qui y’a peu de temps le taxait de méprisant et méprisable rien qu’à voir son visage. Les « VAR » circulent à outrance aujourd’hui dans les réseaux sociaux. Ce qui anime aujourd’hui le sentiment de rejet des populations du Fouta de ce sale qui croit sauver sa peau en ralliant le Pastef. Il est clair que Me Sall semble oublier les vertus de jom et de courage des foutankés. Il s’est tiré lui même une balle dans le genou.