Défigurée après les injections sauvages d’une fausse chirurgienne : «Ma bouche a doublé de volume»
Deborah a porté plainte pour «blessures volontaires» contre son injectrice, une secrétaire médicale titulaire d’un CAP coiffeuse qui opérait à Paris. Elle lui avait été recommandée par quelqu’un de sa famille.Elle en était au point où elle ne pouvait même plus parler. Impossible de bouger les lèvres. Dans la rue, au bout de « huit à dix remarques », elle s’était enfin rendue à l’évidence. L’injectrice à qui elle accordait toute sa confiance avait raté sa bouche.
Leparisien