Attentats de Bruxelles : les accusés déjà jugés en France dénoncent leurs conditions de détention en Belgique
À l’ouverture de ce procès fleuve, un premier incident a opposé la présidente à certains accusés, comme Mohamed Abrini ou Salah Abdeslam, condamnés en France pour le 13 novembre 2015, sur leur traitement en Belgique.Après un faux départ en septembre, et la fastidieuse constitution du jury populaire mercredi dernier, la présidente de la cour d’assises Laurence Massart a donné ce lundi le véritable coup d’envoi du procès des attentats qui avaient endeuillé Bruxelles le 22 mars 2016. Trente-deux personnes étaient décédées dans des attaques à l’explosif à l’aéroport de Zaventem et à la station de métro Maelbeek, faits pour lesquels sont jugées dix personnes, dont six ont déjà été condamnées à Paris pour leur implication dans les attentats du 13 novembre 2015.
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