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ATTENTAT PUBLIC A LA PUDEUR un étudiant de l’UCAO exhibe son sexe devant un groupe de filles

le 6 juin dernier, vers 15 heures, un fait insolite a eu lieu à l’université Catholique de l’Afrique de l’ouest (ucao). C. s. sagna, étudiant en première année en gestion d’entreprises, possédé par on ne sait quel démon, est entré dans une salle de classe où révisait un groupe de filles et a exhibé ses parties intimes. il a été arrêté pour attentat à la pudeur. A quelques jours de la fin de l’année scolaire, élèves et étudiants des établissements privés mettent les bouchées doubles et révisent durant les heures creuses, dans leurs établissements. Le 6 juin dernier, un groupe de filles et garçons se sont retirés dans une salle de classe de l’Université Catholique de l’Afrique de
l’Ouest (Ucao) pour se pencher sur leurs leçons et exercices. Alors que les filles étaient concentrées sur leurs cahiers, vers 15 heures, C. S. Sagna, né en 1996 à Dakar, domicilié à Sacré Coeur, étudiant en 1ière année préparatoire en gestion des entreprises, est entré dans la classe et a refermé la porte derrière lui. Il se met sur un table-banc à l’arrière de la salle, puis, brusquement, se lève, va au tableau, y gribouille quelque chose avant de retourner à sa place. Après plusieurs va-et vient, il se met devant les filles, baisse son pantalon et exhibe ses parties intimes. Trois des étudiantes détalent, pendant que deux autres estomaquées par le fait insolite sont restées de marbre pendant quelques secondes. C. S. Sagna remet son
pantalon et sort, comme si de rien n’était. D’ailleurs, selon nos sources, lorsque le surveillant
général est venu vers lui pour lui demander de le suivre, il était en pleine conversation
avec d’autres camarades. A en croire nos informations, C. S. Sagna n’en est pas à son premier
coup. Et ce n’est pas leur employée de maison qui va dire le contraire. Une fois, tard dans la nuit, il a frappé à la porte de sa chambre, mais elle n’a pas réagi. Le lendemain, l’étudiant
lui a présenté ses excuses et elle a passé l’éponge. Il y a quelques jours, alors qu’elle dorlotait
l’enfant de sa patronne, C. S. Sagna est venu derrière lui, a frotté son sexe en érection sur ses fesses. L’employée de maison l’a copieusement insulté et menacé de le poursuivre en justice
s’il recommençait. Depuis lors, elle ne lui a plus adressé la parole. Interrogé par la Brigade des
moeurs du Commissariat central de Dakar, C. S. Sagna a reconnu les faits et avoué avoir ressenti le besoin d’entretenir des relations intimes avec ses camarades. Il a été déféré hier, vendredi 7 juin, devant le Procureur pour attentat public à la pudeur.

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