« Sans sécurité policière, il n’y a pas de combat de lutte… » (CNG)
La sentence est tombée : la police a suspendu «jusqu’à nouvel ordre» la couverture sécuritaire de l’arène. La nouvelle est tombée ce mardi, tard dans la soirée. Une catastrophe pour le secteur. «Le règlement dit que sans sécurité policière, il n’y a pas de combat de lutte», a réagi dans L’Observateur Moustapha Kandji, le porte-parole du CNG.
Dans son communiqué annonçant la suspension de la couverture sécuritaire de la lutte, la police invoque le non respect des «injonctions et recommandations» faites aux acteurs (CNG, promoteurs, lutteurs…) pour une bonne organisation des combats, notamment lors du choc Ama Baldé-Franc de dimanche dernier.
Ce combat, remporté par le second, était émaillé d’incidents graves dont l’agression mortelle d’un homme à la fin du face-à-face.