CANDIDAT DECLARE A LA PRESIDENTIELLE DE 2024: Mouhamadou MADANA Kane promet de redonner de nouvel espoir à la jeunesse sénégalaise
Elu président de la République du Sénégal au soir du 25 février 2024, le Directeur Général de la Banque Islamique promet de résoudre définitivement les problèmes des jeunes sénégalais et dans le même élan arrêté l’hémorragie de l’émigration clandestine. Mamadou Madana Kane en a fait l’annonce samedi au King Fath Palace lors de sa déclaration de candidature.
Les déclarations de candidatures à la candidature pour la présidentielle de 2024, s’enchainent et les promesses se multiplient notamment en faveur des jeunes qui bravent désert et océan pour chercher une vie meilleure. Sur cette lancée, le Directeur Général de la Banque islamique a officiellement déclaré sa candidature lors d’un grand meeting tenu samedi au King Fath Palace. Mouhamadou Madana Kane veut participer à cette présidentielle sous la bannière « Startup politique Dundu leneen ». Ainsi, sa vision pour le Sénégal, est le renouveau, c’est-à-dire recommencer la politique qui est là avec des nouvelles compétences et avec des personnes de bonne volonté. Le candidat, Madana Kane de promettre de résoudre définitivement les problèmes des jeunes si les sénégalais lui font confiance.
« Je suis jeune, je vis la douleur des difficultés que les jeunes éprouvent au Sénégal. Ils sont en train de partir en Nicaragua, en France, en Espagne et ailleurs et c’est des compétences que nous sommes en train de perdre. Il faut qu’on arrive à redonner de l’espoir aux jeunes et tout notre programme est axé sur la satisfaction de l’homme à chaque étape de la vie et les jeunes jouent un rôle extrêmement important l’axe deux de la vision « Dundu Leneen », c’est l’emploi et le pouvoir d’achat. Il faut qu’on arrive à permettre cette jeunesse qui fait 75% de la population sénégalaise d’avoir un nouvel espoir et avec cet espoir, croire à nouveau à leur pays et avoir envie d’y rester pour pouvoir permettre à ce pays de se développer ». confesse-t-il.
Le natif de Thiès se dit très préoccuper par la situation de la jeunesse sénégalaise qui a perdu l’espoir et qui brave aujourd’hui désert et océan pour tenter de rejoindre l’ « eldorado », Espagne, France, Italie et ailleurs. Il faut noter ces derniers temps, le Barça- Barsakh bat plein son ail, des jeunes agriculteurs, pêcheurs, artisans … arrivent par centaines dans les îles canaries ou Lampedusa. Ce qui constituerait une bombe à retardement l’économie sénégalaise. Dans le même ordre d ‘ idées, le DG de la BIS opte pour le renouveau c’est-à-dire recommencé la politique avec de nouvelles compétences et de nouveaux hommes afin d’arrêter cet hémorragie. «Nous, on s’est dit qu’on recommence la politique. On n’en a jamais fait, il est temps qu’on y entre pour recommencer qui est là avec des compétences avec des gens de bonne volonté. Ça va pour l’avenir du Sénégal. Le Sénégal peut émerger, peut changer de visage à tout point de vue. Le Sénégal que nous recherchons, c’est le Sénégal où l’homme est au centre, où les populations vivent c’est pour cela la vision que nous portons en tant que startup politique. C’est la vision.
« DUNDU LENEEN » et c’est la vision pour le renouveau », a-t-il déclaré devant une salle bourrée de monde. Avant de reconnaitre le travail acharné accompli par tous les présidents qui se sont succédé certainement, cependant il a mentionné que ces derniers n’ont réussi à remettre l’homme sénégalais au centre de l’action publique et permettre les gens de vivre convenablement. « Le Sénégal c’est une continuité, je pense qu’il faut être nihiliste pour dire les présidents qui se sont succédé n’ont rien fait. Le président Abdou a fait, mais y a des choses qu’il n’a pas faite et pareillement le président Abdoulaye Wade et le président Macky Sall. Pour moi ce que les trois n’ont pas réussi à faire c’est de remettre l’homme sénégalais au centre de l’action publique et permettre les gens de vivre », a-t-il insisté.
Relevant, pour le plaindre que la vérité est que le prix des denrées flambent, les gens n’arrivent pas à régler leurs besoins quotidien, les gens n’ont pas accès à un logement, ils n’ont accès à l’électricité dans certains contrés du pays, ils n’ont pas l’accès à l’eau, ils n’ont pas un emploi, ils n’arrivent pas à se soigner quand ils sont malades, ils n’ont pas la bonne éducation qui leur permet d’être connecter au monde de l’entreprise.
Abdoulaye DIAO